Hier il était brave, aujourd'hui la souffleuse le paralyse. Ne gâchez pas tout par accident durant cette phase critique.
C'est une fenêtre biologique. Son cerveau change de mode : la curiosité initiale laisse place à un instinct de survie pur et dur.
C'est la première vague. Un seul événement traumatisant maintenant peut marquer son tempérament pour la vie. Soyez son bouclier.
Entre 6 et 14 mois, tout redevient épeurant. Même une borne-fontaine familière peut soudainement devenir un monstre à ses yeux.
Oreilles rabattues, léchage de babines, queue serrée. Il ne vous ignore pas, il traite une menace perçue comme mortelle.
S'il inspecte l'objet après 10 secondes, c'est de la prudence. S'il reste figé ou fuit, il est officiellement en période de peur.
L'erreur classique? Le rassurer d'un ton inquiet. Votre pitié valide son danger. Gardez votre calme pour qu'il puisse s'y fier.
Riez et jouez devant l'objet qui l'effraie. Si vous agissez comme si c'était une fête, son cerveau finira par vous croire.
La douleur du sel de déglaçage sur ses pattes crée des phobies de l'extérieur. Protégez-le avant qu'il n'associe la rue à la souffrance.
Trop froid? Allez au Canadian Tire. C'est l'endroit idéal pour observer le monde sans geler, loin des bruits de déneigeuses.
S'il grogne ou refuse ses gâteries Mondou préférées, il a dépassé son seuil. N'attendez pas que la peur devienne une phobie ancrée.
La peur n'est pas un défaut de caractère, c'est une preuve de développement. Votre calme est l'architecte de sa future résilience.
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