Une sangle mal placée peut gâcher ses randonnées et nuire à sa santé à long terme. Ne laissez pas son équipement devenir son ennemi.
Pour libérer les épaules, visez le harnais en Y. Contrairement aux modèles horizontaux, il permet une extension complète des pattes sans bloquer l'omoplate.
La jonction frontale doit reposer sur le sternum. Trop haut, elle écrase la trachée ; trop bas, elle entrave le mouvement naturel de votre chien.
Le frottement derrière les coudes est la cause #1 des rougeurs. Laissez l'espace de 3 à 4 doigts entre le coude et la sangle thoracique.
Trop serré, il ne respire plus. Trop lâche, il s'évade. Glissez deux doigts à plat sous la sangle : c'est la tension parfaite pour le confort.
Le point de traction doit rester sur la cage thoracique. S'il finit sur les lombaires, la pression peut cambrer le dos de façon anormale.
Entre le gros manteau d'hiver et la mue du printemps, l'ajustement change radicalement. Vérifiez la tension à chaque changement de température.
Par -20°C, les boucles rigides peuvent irriter la peau. Assurez-vous qu'elles ne touchent pas directement votre chien s'il ne porte pas de manteau.
Si votre chien marche de travers, suspectez le harnais. C'est souvent le signe qu'une sangle bloque une épaule et force une compensation.
Certains chiens reculent pour sortir de leur harnais. Un modèle à trois points (avec attache à la taille) est essentiel pour la sécurité.
L'ajustement parfait doit inclure des bandes réfléchissantes. Indispensable pour nos hivers où le soleil se couche tôt.
C'est l'armure de sa santé physique. Un harnais bien ajusté transforme une corvée en une exploration libre de toute douleur.
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