Un harnais mal ajusté cause des dommages irréparables aux articulations. Ne laissez pas votre chien souffrir en silence.
L'omoplate du chien n'est tenue que par des muscles. Un harnais en "T" bloque son mouvement naturel à chaque pas, limitant son amplitude.
La sangle horizontale empêche l'humérus de s'étendre. C'est comme si vous marchiez avec les genoux attachés : épuisant et douloureux.
C'est l'os dur au centre du poitrail. La pointe du 'Y' doit se situer précisément ici pour protéger sa trachée et ses organes.
Si le harnais remonte trop haut, il écrase la gorge. Crucial pour les races comme le Cavalier King Charles, sensibles du système respiratoire.
Laissez l'espace d'une main entre la sangle et ses aisselles. Sans ce vide, chaque pas crée une brûlure de frottement insupportable.
La sangle ne doit jamais reposer sur l'abdomen mou. Elle doit rester sur la cage thoracique pour ne pas comprimer le foie ou la rate.
S'il refuse d'avancer ou mordille ses sangles, il exprime une douleur. Observez sa démarche : est-elle fluide ou asymétrique ?
Un équipement qui glisse irrite la peau, surtout sous la pluie belge. C'est souvent le signe d'un modèle mal adapté à sa morphologie.
Demandez-lui de sentir le sol. Le harnais ne doit pas basculer vers l'avant ni entraver le mouvement de son cou vers le bas.
Glissez deux doigts sous n'importe quelle sangle. C'est l'équilibre parfait entre sécurité et confort total pour votre compagnon.
L'ajustement n'est pas une question de style, c'est une question de santé. Un bon harnais libère le corps et transforme la vie de votre chien.
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