Vous pensez acheter du poulet, mais l'étiquette cache une autre réalité. Découvrez l'astuce qui trompe 90% des Belges en animalerie.
Imaginez diviser 40% de maïs en trois petits tas : farine, gluten et amidon. Individuellement, ils pèsent moins que la viande. Résultat ? La viande remonte magiquement en tête de liste.
Sur le papier, le poulet est n°1. En réalité, si vous regroupez les dérivés de céréales, votre chien mange un bol de maïs aromatisé à la volaille. Ne vous laissez plus séduire.
L'étiquette affiche 'Poulet frais' ? Attention : cela inclut 75% d'eau. Après cuisson, ce poids s'évapore. Ce n'est plus l'ingrédient principal, loin de là.
Une farine de viande en 2ème position vaut souvent mieux qu'une viande fraîche en 1ère. Elle contient la protéine réelle, sans le poids trompeur de l'eau.
Même chez Maxi Zoo, méfiez-vous des étiquettes multipliant les pois : pois entiers, amidon de pois, fibres de pois. C'est le même piège, version légumineuse.
Graisses animales ou sous-produits d'origine végétale ? Si ce n'est pas nommé précisément (ex: graisse de canard), la qualité est souvent médiocre et changeante.
Un taux de cendres brutes dépassant 9% ? C'est le signe de carcasses et de cartilage broyés plutôt que de bons morceaux de muscle. Regardez bien ce chiffre.
Ils ne sont jamais affichés en Belgique. Additionnez protéines, graisses, cendres et humidité (10%). Soustrayez de 100. Le reste ? C'est le sucre.
Selles molles ou volumineuses ? C'est le signe d'un excès de glucides camouflés. Son corps ne ment jamais, même si l'étiquette est jolie.
La viande de qualité coûte cher. Des croquettes à prix cassé avec de la viande en premier ? C'est mathématiquement impossible sans artifices marketing.
Ne lisez plus le recto du sac. Ignorez les photos de steaks juteux. La vérité se cache dans les petits caractères de l'analyse garantie. Reprenez le contrôle.
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